Interview pour le magazine « Challenge »
Interview pour le magazine « Challenge » à retrouver également sur le site internet : https://www.challenges.fr/entreprise/cabinet-thomas-deballon-a-chaque-projet-sa-solution-de-financement_869601
Achat immobilier, rachat d’entreprise, monétisation d’actifs immobiliers ou mobiliers… Chaque projet personnel ou professionnel doit pouvoir obtenir ses solutions de financement. Pour peu qu’un expert en solutions de financement, exigeant et compétent, s’empare du projet et réponde aux besoins de ses clients via des montages spécifiques. C’est le rôle du Cabinet Thomas Deballon.
CABINET THOMAS DEBALLON
Optimiser un patrimoine ou le développer passe souvent par le conseil et la mise en place de structures ad hoc. Les notaires, avocats, experts-comptables et conseillers en gestion de patrimoine y œuvrent ainsi. Pourtant, il leur arrive de faire appel à un expert qui a les compétences adéquates pour proposer des montages financiers spécifiques et les défendre devant les partenaires bancaires et financiers. Pour quelles raisons ? « Les dossiers patrimoniaux sont souvent compliqués. Les présenter à un banquier nécessite une expertise fine afin de mettre en avant l’ensemble du patrimoine, les flux, ainsi que les garanties possibles », explique Thomas Deballon.
Éviter les refus bancaires
Ancien auditeur financier, manager d’un cabinet d’audit parisien, formé à la gestion de patrimoine à l’Université de Clermont-Ferrand, Thomas Deballon a fait le choix de se lancer en tant qu’expert en solutions de financement, 100 % indépendant. « Lorsqu’un client me sollicite, souvent il a eu affaire à de nombreux refus de prêts bancaires », poursuit-il. « Ses conseillers l’invitent à structurer financièrement ses moyens afin de parvenir à ses projets et parfois cela manque de lisibilité pour le banquier. Or, mon expertise de plus de 15 ans dans ce domaine me permet de présenter des dossiers dont les montages juridiques et financiers sont acceptés par les banques ». Tout se joue dans la justesse et la rigueur de la présentation.
Structurer les leviers de financement
« Je commence toujours par cinq questions concernant le patrimoine du client », explique Thomas Deballon. « Cela constitue véritablement des leviers de financement. Les garanties peuvent porter sur les biens immobiliers, mobiliers ainsi que sur les placements financiers », souligne-t-il, mesurant l’ensemble des éléments clés qui peuvent rassurer le banquier. Prêt hypothécaire, financement fiduciaire, crédit lombard, prêts viagers hypothécaires ou emprunts obligataires n’ont aucun secret pour l’expert en solutions de financement. Il intervient également pour accompagner les non-résidents sur le territoire national qui souhaitent y investir. Les opérations qu’il défend se situent le plus souvent entre 300 000 et plus d’un million d’euros et peuvent aller bien au-delà.
Identifier les flux pour une meilleure lisibilité des dossiers
« J’accompagne également des investisseurs immobiliers dont les encours de crédits et les flux bancaires peuvent inquiéter les banquiers qui, au bout d’un certain temps, refusent de leur octroyer un nouveau prêt pour un futur projet. Même dans ce cas, nous avons l’expertise pour rendre le dossier davantage digestible. Parfois, certains investisseurs retournent même voir leurs propres banques pour renégocier avec elles et le projet est accepté ! » Le Cabinet Thomas Deballon identifie les paramètres qui rendent les dossiers compréhensibles et attractifs pour les banques. « Je mets mon carnet d’adresses et mon réseau de partenaires au service de mes clients », ponctue le dirigeant.
Gain de temps et efficacité
Totalement indépendant des banques françaises et internationales, le Cabinet Thomas Deballon a choisi de se rémunérer par honoraires. « Recourir aux services d’un expert en solution de financement permet réellement de gagner du temps et de s’engager rapidement dans son projet », reconnaît Thomas Deballon qui apprécie aussi la réelle utilité de son métier. « Il m’arrive de soutenir des personnes en difficulté, comme une mère célibataire en rémission d’un cancer depuis moins de trois ans qui souhaitait acheter un appartement. J’ai là aussi trouvé les arguments pour convaincre la banque de la suivre », confie-t-il. Une fois le dossier accepté, Thomas Deballon ne s’est jamais senti aussi utile. »

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